Le dernier article de Thibault Heimburger

J'ai vu sur le site de Schwortz la mise en ligne du dernier article de Thibault Heimburger.

Du haut de mon incompétence et de mes lacunes énormes en chimie, il me semble bon (il a l'air sérieux et je ne vois pas d'erreur sur les faits que je connais).

Pour sa crédibilité, je constate qu'Heimburger a fait appel à différents universitaires, de par le monde (de Giulio Fanti à une Australienne en passant par une Danoise).

Toutefois une interrogation qui me semble importante et que je me suis tout de suite posée : cet article a-t-il été proposé à une revue internationale ? Si non, pourquoi ? Et si oui, quelle fut la raison principale du refus ?

Entre parenthèses, je me pose la même question concernant l'analyse de l'équipe du LANL dirgée par Robert Villarreal.

Non il n'a pas été proposé dans une revue scientifique.
Je ne sais pas pourquoi. Il fera la traduction prochainement, en Juin je crois, sur son site web.

Merci.

Je pense que c'est dommage de ne pas l'avoir proposé. Cela aurait permis à la fois une plus grande visibilité dans le milieu sindonologue. Et surtout cela aurait retenu d'avantage l'attention des non spécialistes, car sa crédibilité a priori s'en serait trouvée renforcée.

Maintenant, si, à l'occasion, vous pouviez demander à Thibault Heimburger pourquoi il n'a pas voulu accomplir cette démarche, ça m'intéresserait de connaître sa réponse.

s.cataldo a écrit:Non il n'a pas été proposé dans une revue scientifique.
Je ne sais pas pourquoi. Il fera la traduction prochainement, en Juin je crois, sur son site web.

Quel est le contenu exact de son article ? Va t-il plus loin que les résulats de Los Alamos (coton et lin tenus par une résine) ?

L'article est ici (en anglais, 3 pages).

Thibault Heimburger trouve dans l'échantillon Raes 7 des traces de vieux coton (Gossypium herbaceum) à l'intérieur du lin (résultat conforme avec ce qu'avait trouvé Gilbert Raes).
Ensuite, pour Heimburger, ils sont en pleine cohérence avec l'étude de Rogers et ne sont pas incompatibles avec l'étude du LANL.

Conclusion de l'auteur : "there is an extraordinary set of self consistent data converging on the
inevitable conclusion: the 1988 radiocarbon dating is invalid and nobody knows the true age of the
Shroud."